• posté le dimanche 19 mai 2013 23:36



    Ils se posaient sur le parvis,
    Beaubourg était tout neuf.
    Un r'gard furtif, y'a pas d'keuf
    "Salade du chef" au paradis
    "Royal", j'en suis ravi. Fais passer
    Plus loin après le Sébasto il ya un trou
    Et une église qui surveillait les "sapajous"...
    On y entrera peut être un jour pour abjurer
    Tiens, dis donc si on s'fesait une "moustache"
    Au nez et à la barbe de Saint Eustache...
    Soixante dix sept, vingt ans. Prévert cassait sa pipe
    "Le temps mène la vie dure à ceux qui veulent le tuer".
    Sur les écrans c'est "Rencontres du troisième type",
    Mais je préfère avec Prévert continuer
    A m'balader là-bas " Au coin d'la rue du jour ". Car c'est moi qui fit la route de Cherbourg à Beaubourg...


    votre commentaire
  • posté le dimanche 12 mai 2013 19:58


    Il était seul sur cette plage immense au bout de son fil... Ils avaient tous fui les nuages ... Mais pourquoi fuir les nuages ? Ils sont beaux, énormes, poussés par ce vent puissant , ce vent qui gonfle son cerf-volant, sont cerf-volant prisonnier... Oui, c'est bien un prisonnier que l'homme tenait à la force de ses bras. Un prisonnier de papier, beau comme un astre qui luttait, tiraillé entre ces deux amis, l'homme, ce geôlier qui lui avait donné ses couleurs ses formes harmonieuses, et la tempête qui lui donnerait sa liberté... Au début, il était petit ce cerf-volant et de jour en jour l'homme l'a fait plus grand, plus beau, plus puissant... Il avait une idée en tête, il ne couperait pas le fil, non, il s'envolerait avec son cerf-volant...


    1 commentaire
  • posté le mardi 07 mai 2013 17:52


    Oui, c'est bien UN autoportrait... Dans la foule nous sommes UN. Je suis " les autres ", et ils sont " moi "...


    votre commentaire
  • posté le samedi 27 avril 2013 22:22


    ... 6H20, j'ai 15 minutes pour la correspondance... C'est comme ça depuis... on s'en fiche. J'allume ma clope et j'avance doucement vers le troquet... Je vais quand même pas la gaspiller cette cigarette. Il y a quelques années, j'aurais allumé ma cigarette au comptoir, un régal... Maintenant on ne peux plus, c'est trop dangereux, c'est pas bon pour les bronches des autres, c'est pas bon pour le moral ... Alors respect, (ça vient du latin, regarder en arrière et en tirer les leçons...) en arrivant chez "Tonton" je l'éteins. TONTON, c'est comme ça que le patron du bistrot appelle ses clients. "Bonjour Tonton, ça va..." " Oui, tu me donnes un café s'il te plait." Sur le comptoir il y a un rhum, un demi, un café crème... tout cela est bien sucré. Moi j'aime pas le sucre le matin, je préfère le camenbert, ou le comté... mais y'en a pas dans les bistrots dès potron-minet. Alors je prends un café sans sucre. En fait je suis certain que si je demandais au patron un morceau de comté sur le bord de ma soucoupe à café, il le ferait sans problème. Ce serait original, je serais un personnage particulier parmi les clients, différent... je ne serais plus un anonyme, mais celui qui boit son café avec du comté... 6H30, Bakri parle fort et rit à la blague de Daniel ( on appelle ça une brève de comptoir, non ? y'en a qui gagnent de sous avec ça...). Moi aussi je ris, je rajoute un ou deux trucs, je paye mon petit noir et je m'en vais... 6H35... Et j'ai encore oublié d'ètre original...


    votre commentaire
  • posté le mardi 02 avril 2013 23:10


    VOICI DES DESSINS VIEUX DE 20 ANS, ET POURTANT, JE CROIS D’ACTUALITÉ... Ils sont resté dans mes tiroirs, comme tout le reste... ( je crois que je vais devoir faire un vide grenier...)

    Des seins sur Papy et quand son... format est 21 X 29,7... N'IMPORTE QUOI ...

    Lire la suite...


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique