• posté le dimanche 17 février 2008 18:53

    Je suis d'astreinte...! Rien de très poétique, n'est-ce pas ?

    Hier, le téléphone sonna 2 fois: la première parce-que 2 balises avaient été arrachées sur la voie, dans la nuit, la deuxième parce-qu’un signal ne voulait pas s'ouvrir à Massy... ! Alors aujourd'hui Dimanche, pariant sur le fait que cette objet de malheur ne sonnerait pas, j'entrepris d'exécuter une peinture d’après une œuvre de ce vieux Pierre-Auguste, " La danse à la campagne".

    J'étais donc debout de bonne heure. Pour quelqu'un qui ne connait de la messe que ces cloches qui résonnent et qui sortent de ses songes l'enfant que j'étais rue Muret à Chartres ( voir les épisodes précédents...), il n'y a aucune raison pour se lever dès potron-minet...! Et bien si...! L'envie de peindre.

    Et ce livre sur Renoir que j'avais feuilleté la veille, et surtout cette peinture, me fit penser à ces bals de ma jeunesse ( je me marre en disant cela, moi qui n'ai que 50 balais...).

    Pourquoi ne pas mélanger les genres, qu'auraient dansé ces prolos des guinguettes au son des guitares électriques et de la batterie ? Et Pierre-Auguste aurait peut-être fait des colonnes blanches et noires dans les jardins du Palais Royal...! Qui sait...! Cette peinture est toute fraiche et sent encore la térébenthine. Pour ceux qui sont allergique à ce produit, n'ouvrez pas ce blog... Ah, trop tard...!


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  • posté le samedi 16 février 2008 18:27



    LE REMPAILLEUR

    Le ballon rouge n'était pas sur la vieille photo que je reproduisais.
    Il manquait l'enfant qui aurait pu être mon Père.
    Le rempailleur aurait été son grand-père, et une des femmes sa grand-mère...
    Mais en fait qui sont-ils ?
    Des personnages immobiles fixés sur une plaque du début du XXème siècle à Paris et dont je viens troubler la quiétude en les faisant voyager d'un support à un autre.
    Qui sont-ils ? Cette question m'obsède, mais ne trouvera jamais de réponse.
    Alors je rajoute ce ballon
    Et puis c'est tout.....!


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  • posté le mardi 12 février 2008 20:40



    Ce n'était qu'une photo volée
    Dans les méandres de la toile
    Qui "brille" ma nuit comme une étoile
    Quand les cerveaux sont embués.
    Je stoppais ma course immobile,
    D'un clic, devant ses grands yeux sombres.
    La photo les montrait en surnombre
    Mais je ne voyais qu'elle, fragile
    Et pourtant sûre d'elle dans les eaux
    Troubles de la Déesse Ganga
    Qui, ses péchés pardonnera
    Et la guérira de ses maux.
    Moi j' n'ai que faire de l'eau croupie.
    Je la peindrai sur l'autre toile
    Noyée de soleil, en sari
    Sans dieux qui cachent les étoiles,
    Et je mettrai deux papillons
    Pour lui donner un air volage
    Ils dégagerons plus d'émotions
    Que tout ces bactériophages
    Qui hantent les eaux troubles du Gange...


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  • posté le vendredi 01 février 2008 23:30

    Blog de hachep :En un mot : PEINDRE ce que je ne dis pas..., ' LE TEMPS C'EST DE L'ART, ...JEAN...!             Fresque (non historique...)


    J'ai réalisé ces dessins il y a maintenant quelques années, sur la sous pente de notre atelier de peinture à la gare d'Austerlitz. Comme vous pouvez le constater, ou l'imaginer..., c'est un superbe atelier. Il est situé sous la verrière historique de la gare.

    J'ai d'abord dessiné sur des papier format "Grand Aigle" ( 75x106), que j'ai ensuite marouflé sur la sous pente. J'ai ensuite peint à l'acrylique avec des tons d'ocre et terre brulée. Ce n'est certe pas trés académique, mais le résultat m'a plu...! L'ensemble fait environ 10 m de long sur un peu plus d'un mètre de haut.

    Mais ceci est une "œuvre éphémère" car la gare d'Austerlitz est en pleine restructuration. Et ce "tableau "disparaîtra d'ici 3 ans environ lorsqu' enfin, à la place de toutes ces salles si mal utilisées, et surtout non rentables, s'égraineront des chapelets de magasins, de "faste foude", ou autres attrape-touristes, qui en plus, ne regarderont jamais cette splendide verrière...! Il y avait aussi gare d'Austerlitz, au no 1 place Valhubert, un théâtre derrière cette façade qui maintenant abrite une banque...! ( peinture postée le 16 Novembre 2007 page 6).
    Et oui, mon pauvre Jean, le temps n'est pas de l'art, gens qui rient, gens qui pleurent Toujours prendront des trains, et les vaches qui les regardent ne sont plus que des leurres...!

    Il y a 7 photos qui suivent, et montrent les différents dessins de cette sous pente...! Dans le dernier, on voit à droite la main d'un personnage. Je ne pouvais pas l'inclure dans la photo, car il avait la grosse tête...! Et ça dépassait, bien sur...!

    Lire la suite...


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  • posté le mardi 29 janvier 2008 18:01

    Problèmes de ligne hier soir, alors je recommence ce soir à envoyer mon dernier article...!


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