• posté le lundi 14 novembre 2011 20:10




    Pour fêter la fin de la panne sur ARTBLOG ( et qui n'a pas eu d'incidence sur ma vie d'homme des cavernes...) je vous envoie une vielle peinture ( 2005: copie sur une même toile de deux tableaux un peu... connus ) et ou le " laid " n'est pas obligatoirement là ou l'on pense...!


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  • posté le mardi 01 novembre 2011 14:50




    ... Jusqu'au printemps, mon ange... !


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  • posté le dimanche 16 octobre 2011 19:16




    Aujourd'hui, c'était jour de châtaignes. Nous les avons déposées sur un vieux journal pour les éplucher. Un journal qui porte un autre nom maintenant, mais les châtaignes restent les châtaignes et il y a des jours d'automne ou elles se mangent et d'autres jours passés et à venir ou elles se distribuent... !


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  • posté le dimanche 02 octobre 2011 20:39

    Blog de hachep :En un mot : PEINDRE ce que je ne dis pas..., ' UNE BONNE SANTE ... '    Aquarelle   30 X 40


    En remontant le boulevard Arago, la rassurante Cité Fleurie me réconfortait sur la nature humaine. Sauvée de la démolition et des griffes des spéculateurs dans les années 70 elle égayait ma matinée parisienne. Elle fut construite entre 1878 et 1888 avec les restes de l'exposition universelle. Un peu plus loin, à environ 200 mètres, je croisais la rue de la Santé et la maison du même nom datant de 1867... J'allumais une cigarette quand une femme venant de cette rue me devança sur le boulevard. Je n'avais aucun doute sur le fait que si elle cachait son visage c'est qu'elle cachait ses larmes... Elle marchait rapidement sur le côté droit du trottoir, comme ci elle avait peur que ce mur ne l'aspire, comme il le fit pour d'autres... Ce mur abattu ferait une belle "Cité fleurie"... et la société n'aurait plus de chancre. Et si les humains se mobilisaient pour la suppression de toutes les prisons." Elles ont assez vécu, qu'elles crèvent ..."


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  • posté le dimanche 18 septembre 2011 20:04

    Blog de hachep :En un mot : PEINDRE ce que je ne dis pas..., ' LA NUIT '    Aquarelle   56 X 76

    Quelques taches brunes qui ondulent
    Comme pour le test de Rorschach
    Pas de crayon rien que des flaques
    Mon pinceau qui fait des virgules.
    Il faut que je retrouve la nuit
    Ce seul pays ou le silence
    Fait résonner toutes les absences
    Ou tout espoir est aboli


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