• posté le dimanche 14 mars 2010 21:29




    " C'est bien vous qui étiez sur notre palier...? Pourquoi...? Et qui êtes vous...?


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  •   posté le dimanche 07 mars 2010 23:38




    En effet, elle n'y est pas. Parmélias est seul chez lui dans son petit logement.

    Et puis c'est dimanche, et je ne vais pas réfléchir un jour comme aujourd'hui sur ce que peuvent bien se dire Cléodolinthe et l' "Ombre " sur une passerelle qui de surcroît n'existe plus...! C'est bien la dernière de mes préoccupations, surtout que demain je bosse MOI...!

    Je vais donc peindre Parmélias sur un petit format, ( faut pas pousser 30 x 40 ce sera suffisant...!) et sur une simple banquette, agonisant car il se demande ou se trouve son aimée...!

    ET PUIS CE SERA TOUT... pour aujourd'hui


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  • posté le dimanche 07 mars 2010 00:13




    A cette question je n'ai pas de réponse. Mais bon, il faut bien jouer...!

    Quelques précisions sur l'histoire sans "Queuenitête" (Vincent de son prénom, n'a pas pu venir...!) que je vous propose.

    Vous avez noté que Parmélias se prenait pour un artiste. Ce serait lui l'auteur des aquarellépisodes 1 et 2. Et bien laissons le là avec ses élucubrations ou cette énigme...( qui est qui... ? et qui fait quoi...? questions dont nous aurons les réponses dans le numéro 3225 de ce passionnant feuilleton. Ce qui veut dire qu'à raison d'un aquarellépisode par semaine , ce que je ne pourrais faire car je ne suis qu'un cheminot qui chemine, j'aurai environ 114 ans quand je peindrai cette œuvre que vous attendez tous...BON COURAGE DONC...!).

    Quoi qu'il en soit, retrouvons pour l'heure Cléodolinthe assise sur la passerlle de Masséna (passerelle qui n'existe plus au moment où j'écris ces lignes).

    Elle a réussi à rejoindre l' "OMBRE"

    MAIS QUE LUI DIT-IL ou T-ELLE ?...


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  • posté le mercredi 24 février 2010 22:23




    Parmélias était perplexe. Il voulait rappeler sa compagne qui, si vous vous souvenez de la dernière " aquarellépisode", se trouvait sur le pallier. Mais il a deux problèmes:

    1) Il n'a jamais, dans la longue "aquarellevie" qu'ils ont vécue ensemble ( deux grands formats, c'est quelque chose...) donné un prénom à son aimée. ( De toutes façon c'est l" Artistecréateur" qui décide des prénoms à affecter aux différents protagonistes et non Parmélias... Donc, après mûre réflexion, JE décide que ce sera CLEODOLINTHE...!) .

    2) Il se trouve actuellement dans un autre tableau, et ce faisant, comment peut faire un pauvre diable de personnage pour retrouver sa "chère et tendre", si l'artiste ( encore lui...) ne l'a pas décidé ?

    Tout cela fatiguait un peu le peintre qui fit une pause et regarda les infos truquées non pas sur la première chaine qui était accrohée au mur depuis longtemps mais sur une autre qu'il avait trouvé dans une prison abandonnée...! Après que les pays furent libérés, les frontières abolies, que les Palestiniens eurent inaugurés leurs premiers jeux olympiques et que le salaire minimum fut porté à 2000 niflettes, il coupa la chaine, satisfait...! Il termina alors le troisième volet de son " histoire " entre parenthèse ou l'on voyait Parmélias appuyé à la rampe du fameux escalier en colimaçon et regardant les deux phases de son " aquarellevie " disposées discrètement par l'artiste devant lui sur le sol...!


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  •  posté le mercredi 10 février 2010 00:03




    Oui, elle le sentait bien qu'il y avait quelqu'un sur le pallier.

    Elle le vérifia de suite en laissant Parmélias seul devant son aquarelle. Le petit logement qu'ils partageaient depuis tant d'années contrastait avec cette vue plongeante sur le voisin du dessous ( un petit employé de la Compagnie de l'Electricécité ( il n'y a pas de faute...), mis à la retraite et n'ayant pour subsister que 1 500 000 niflettes...) " Ne pas pleurer sur le sort de ce pauvre homme se dit elle, surtout que nous ne sommes plus à la Toussaint...! "

    Mais, ce qui la mettait par dessus tout en rage, c'était la modestie maladive de Parmélias qui s'acharnait à représenter l'entrée de leur petit nid si minuscule par rapport à la réalité vrai...! ( voir aquarelle précédente ).

    Alors qu'elle regardait discrètement l'ombre de l'homme qui s'éloignait, un halo de fumée blanchâtre se format au dessus de sa tête. Pour rendre la scène plus réaliste elle demanda à son mari de peindre une cigarette en chocolat ( ou pas...) entre ses doigts...! 


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